La notion de violence religieuse n'aide guère à comprendre les sources d'actes de violence ou de terrorisme, tandis que les concepts de sacré ou de croyances non négociables permettraient mieux d'analyser le passage à la violence de la part de groupes tant religieux et séculiers, suggère un récent article.
Matthew D.M. Francis, « Why the “sacred” is a better resource than “religion” for understanding terrorism », Terrorism and Political Violence, 28/5, nov.-déc. 2016, pp. 912-927.
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http://www.tandfonline.com/doi/pdf/10.1080/09546553.2014.976625