Descendants d'un schisme dans l'Eglise orthodoxe russe au XVIIe siècle, les vieux croyants ont traversé les turbulences de l'histoire et maintenu leur héritage jusqu'à aujourd'hui. Nathalie Ouvaroff retrace ici leur histoire et nous offre quelques aperçus sur leur situation actuelle et leurs perspectives.
Conférence: éclairages sur la religion en Chine aujourd’hui
Malgré les limites imposées par un régime méfiant envers les groupes religieux et les dévastations de la "révolution culturelle" à la fin des années 1960, la religion est à nouveau présente sur la place publique en Chine. Mais sous quelles formes? et quels développements peut-on observer? Une récente conférence à l'Université de Fribourg a permis d'en éclairer quelques aspects.
Livre: kimbanguisme et identité noire
La religion kimbanguiste est l'un des plus importants mouvements autochtones africains issus de la prédication du christianisme. Le livre d'Aurélien Mokoko Gampiot propose une approche de plusieurs thèmes centraux du message kimbanguiste et des sources qui alimentent sa doctrine. Il s'interroge aussi sur le rôle du kimbanguisme dans l'Afrique contemporaine.
Aurélien Mokoko Gampiot, Kimbanguisme et identité noire, Paris, L’Harmattan, 2004 (368 p.)
Livre: des itinéraires religieux en France – une exploration guidée par Emile Poulat
S'il n'apparaît guère dans les grands médias, Emile Poulat est considéré par les spécialistes comme l'un des observateurs les plus fins de la religion dans la France contemporaine, conjoignant au regard aiguisé du sociologue la profondeur temporelle de l'historien. Et les années qui passent (Poulat a depuis longtemps dépassé l'âge de la retraite) n'ont pas ralenti la production d'une œuvre à laquelle de nouvelles pierres s'ajoutent avec une belle régularité.
Emile Poulat, La question religieuse et ses turbulences au XXe siècle. Trois générations de catholiques en France, Paris, Berg International, 2005 (328 p.).
Russie: grand-messe politico-médiatique à Moscou – à propos du Sommet mondial des chefs religieux
Deux cent responsables religieux, venus de quarante neuf pays et représentants toutes les confessions traditionnelles de la planète se sont retrouvés à Moscou du 3 au 5 juillet 2006. - Une analyse de Nathalie Ouvaroff.
Document – Message du Sommet mondial des chefs religieux
A titre documentaire, nous reproduisons ci-dessous la traduction française du message du Sommet, telle qu’elle a été publiée le 10 juillet sur le site de la Représentation de l’Eglise orthodoxe russe à Strasbourg (NDLR):
Nous, les participants au Sommet mondial des leaders religieux, chefs et délégués des communautés chrétiennes, musulmanes, juives, bouddhistes et shintoïstes, venant de 49 pays, nous sommes réunis à Moscou avant le sommet du G8. Ayant débattu en détail de questions qui présentaient un intérêt commun, nous nous adressons aux chefs d’Etats, à nos communautés religieuses et à tous les hommes de bonne volonté.
Nous considérons que par sa nature l’être humain est religieux. Dès le début de l’histoire, la religion joue un rôle clé dans la formation de la pensée, de la culture, de la morale, du mode de vie social. Du fait du rôle croissant de la foi dans la société actuelle, nous souhaitons que la religion continue à servir de base solide à la paix et au dialogue entre les civilisations et qu’elle ne soit pas utilisée en qualité de source de querelles et de conflits. La religion a la possibilité potentielle de lier différents peuples et différentes cultures malgré notre fragilité humaine et particulièrement dans le contexte actuel de pluralisme et de diversité.
La vie humaine est un don du Très-Haut. Notre devoir sacré est de préserver ce don et cela doit être le souci aussi bien des communautés religieuses que des leaders politiques.
Le dialogue et le partenariat entre les civilisations ne doivent pas être de simples slogans. Nous devons construire un tel ordre mondial où seraient réunis la démocratie, comme moyen de concilier différents intérêts et comme participation des gens aux prises de décisions à un niveau national et global, et le respect envers les sentiments moraux, le mode de vie, les différents systèmes de droit et de politique, les traditions nationales et religieuses des gens. Les solutions globales, équitables et stables des différends internationaux doivent être trouvées par des moyens amiables. Nous refusons les doubles standards dans les relations internationales. Le monde doit être multipolaire avec différents modes de vie à la satisfaction des tous les êtres et de tous les peuples et non être confiné dans des schémas idéologiques simplifiés et dénués de vie.
L’homme est une œuvre unique du Créateur dont l’existence s’étend à l’éternité. Il ne doit devenir ni une marchandise, ni un objet de manipulations politiques, ni une pièce détachée d’une machine de production et de consommation.
Pour cela il faut avant tout affirmer constamment l’extrême valeur de la vie humaine depuis sa conception et jusqu’à son dernier souffle et son trépas naturel. De ce fait, la famille a besoin aujourd’hui d’être soutenue car elle est le milieu privilégié pour former une personne libre, raisonnable et morale. Nous appelons à renforcer le soutien de la famille et particulièrement dans sa mission éducative avec l’aide du droit national et international et de l’usage des Etats, différentes institutions publiques, communautés religieuses et moyens d’information des masses. En liaison avec cela nous sommes préoccupés par la situation des femmes et des enfants dans de nombreuses sociétés. En aidant au développement de la personnalité unique de chaque individu, femmes et hommes, enfants et vieillards, de même que personnes handicapées, nous voyons qu’ils possèdent tous des dons particuliers. Leur défense contre la violence et l’exploitation, c’est la mission commune du pouvoir, de la société et des communautés religieuses.
L’homme est le chef d’œuvre du Très-Haut. Pour cela les droits de l’homme, leur défense et leur respect au niveau national, régional et international sont une préoccupation importante pour nous. Cependant, notre expérience nous montre également que s’il n’y a pas de pivot moral, si nous ne comprenons pas nos devoirs, aucun pays, aucune société ne seront libres de conflits et de décadence. Le péché et le vice détruisent et la personne et la société. De ce fait, nous sommes convaincus que la loi et le mode de vie social doivent unir en une entente féconde l’attachement aux droits et aux libertés tout en comprenant les principes de la morale qui sont à la base de la vie commune des humains.
Nous affirmons l’importance de la liberté religieuse dans le monde actuel. Les gens et les groupes doivent être libres de contraintes. On ne doit obliger personne à agir contre ses propres convictions religieuses. Il est essentiel également de tenir compte des droits des minorités religieuses et nationales.
Nous condamnons le terrorisme et l’extrémisme sous toute forme ainsi que les tentatives de les justifier par la religion. Nous considérons comme notre devoir de nous opposer à la haine qu’elle soit sur un terrain politique, national ou religieux. Nous regrettons les actions des groupes et des mouvements pseudo-religieux qui détruisent la liberté et la santé des gens ainsi que le climat moral dans la société. L’utilisation de la religion comme moyen d’attiser la haine ou comme prétexte à des crimes contre l’individu, la morale, l’humanité, c’est l’un des principaux défis du temps présent. On ne peut réellement en venir à bout qu’au travers de l’enseignement et de l’éducation morale. L’école, les mass-médias et la prédication des chefs religieux doivent rendre à nos contemporains la pleine connaissance de leurs traditions religieuses qui appellent à la paix et à l’amour.
Nous exigeons l’arrêt de tout outrage aux sentiments religieux et de toute profanation des textes, symboles, noms et lieux qui sont sacrés pour un croyant. Celui qui porte atteinte aux choses sacrées doit savoir qu’il blesse profondément les cœurs des hommes et sème la discorde entre eux.
Par l’éducation et l’action sociale, nous devons réaffirmer les valeurs morales durables. Nous considérons que ces valeurs nous ont été données par le Très-Haut et qu’elles sont profondément enracinées dans la vie de l’homme. Elles sont pour beaucoup pratiquement les mêmes dans nos religions. Nous sentons notre responsabilité pour l’état moral de nos sociétés et nous souhaitons prendre cette responsabilité, en œuvrant avec les gouvernements et les associations civiles au nom d’une vie dans laquelle les valeurs morales seront une vertu et une source de développement durable.
La vie de l’homme est également liée à l’économie. Le régime économique mondial, de même que les autres domaines de l’architecture globale, doivent être fondés sur l’équité. Toute l’activité économique et celle du monde des affaires doit être socialement responsable et s’appuyer sur les normes de la morale. C’est justement ce qui la rend véritablement efficace, c’est-à-dire apportant le bien-être aux gens. Une vie uniquement vouée au profit et aux rendements de production devient indigente et vide. Le sachant, nous appelons le monde des affaires à être ouvert et responsable envers la société civile, y compris les communautés religieuses, aussi bien au niveau national que global.
Il est impératif que tous les gouvernements et tout le monde des affaires soient, au même titre, responsables de la préservation des ressources de notre planète. Ces ressources sont offertes par le Créateur à toutes les générations et doivent être utilisées pour le bien de chaque être humain. Tous les peuples ont le droit d’utiliser ces ressources de même que de développer des techniques nécessaires à leur conservation et à leur utilisation efficace. Une répartition responsable des richesses de la Terre et une activité humanitaire efficiente permettront de vaincre la pauvreté et la faim dont souffrent des milliards de nos frères et de nos sœurs. La pauvreté et l’absence de protection sociale deviennent la cause d’une migration massive laquelle provoque de plus en plus de nouveaux problèmes aussi bien dans les pays pauvres que dans les pays riches. La concentration de la plus grande part des richesses du monde entre les mains d’une minorité sur le fond d’une extrême pauvreté d’une quantité énorme de gens, en particulier d’enfants, c’est une tragédie globale. Il est sûr qu’elle continuera à déstabiliser le monde et constitue une menace pour la paix sur la planète. Nous appelons tous les peuples à revenir à une vie de modération, à l’autolimitation et à une équité active. Ceci assurera un avenir plein d’espérance aux générations futures et désarçonnera les terroristes et les extrémistes.
Les gouvernements, les communautés religieuses et les peuples du monde doivent ensemble lutter pour vaincre les nouveaux défis tels que les épidémies de maladies infectieuses, et particulièrement le SIDA, de même que la drogue et la dissémination des armes de destructions massives. Aucun pays, même le plus riche et le plus puissant, ne peut seul venir à bout de ces menaces. Nous sommes tous liés les uns aux autres et nous avons le même destin. Ceci exige des efforts concertés et unis de la part de tous les Etats-membres de la communauté mondiale. Les maladies ne sont pas les préoccupations des seuls médecins comme la dispersion des technologies de mort n’est pas le problème des seules forces de maintien de l’ordre. Ces défis doivent devenir la préoccupation de la société dans son ensemble.
Le dialogue entre les religions doit se réaliser grâce aux efforts des chefs religieux et des spécialistes et doit s’enrichir grâce à la contribution des simples croyants. Il ne doit pas y avoir de situation, dont le danger a été confirmé par l’histoire, lorsque les communautés religieuses agissent sous la dictée d’intérêts politiques. Nous condamnons également les tentatives de «mixer» artificiellement les croyances ou de les modifier sans que leurs adeptes le veuillent, en vue de les rapprocher du sécularisme.
Nos communautés sont prêtes à développer le dialogue avec les partisans des opinions laïques, avec les hommes politiques, avec toutes les structures de la société civile, avec les organisations internationales. Nous espérons que ce dialogue continuera et permettra aux religions d’apporter leur contribution à la concorde et à la compréhension mutuelle entre les peuples, dans notre maison commune, fondée sur la vérité, construite sur l’équité, vivifiée par l’amour et la liberté. Ce dialogue doit avoir lieu entre égaux, doit être conduit régulièrement avec responsabilité, être ouvert à tous les sujets sans préjugés idéologiques. Nous pensons que le temps est venu pour un partenariat plus systématique des religieux avec l’Organisation des Nations Unies.
Nous nous adressons tout particulièrement à tous les croyants, nous les appelons à se respecter et à s’accepter les uns les autres quelles que soient les différences religieuses, nationales ou autres. Aidons-nous les uns les autres avec tous les hommes de bonne volonté à construire un meilleur avenir pour toute la famille des humains. Préservons le monde que le Très-Haut nous a donné en héritage!
Balkans: après l’indépendance du Monténégro, l’Église orthodoxe serbe dans la tourmente
L'indépendance du Monténégro, acquise par le vote des électeurs lors du référendum du 21 mai dernier, sonne comme un nouveau désaveu pour l'Église orthodoxe serbe, qui s'était fortement engagée dans la campagne référendaire, contre la séparation de la petite république. D'autres défis attendent également l'Église, notamment en Macédoine et en Bosnie-Herzégovine. 2006 devrait être, selon la communauté internationale, l'année de la définition du statut du Kosovo: l'Église serbe, en panne de stratégie, est plus divisée que jamais sur ce sujet brûlant.
Notes
[1] Sur ces événements et l’identité monténégrine, lire Tanja Turqui Spicanovic, Crnogorska drama. Traganje za identitom, Podgorica, CID, 2006, et Zivko M.Andrijasevic et Serbo Rastoder, Istorija Crne Gore, Podgorica, CICG, 2006.
[2] Lire Veseljko Koprivica, Amfilohijeva sabrana ne-djela, Podgorica-San Francisko, 1999.
[3] Lire “Qui se cache derrière le Otpor monténégrin?”, Le Courrier des Balkans, 16 novembre 2000 (http://balkans.courriers.info).
[4] Interview au quotidien Dnevnik de Skopje, 23 mai 2006.
[5] Dans des pays comme l’Ukraine, la Moldavie ou l’Estonie où existent de facto plusieurs Églises orthodoxes, celles-ci se situent toujours dans une relation conflictuelle.
[6] Dans ses épitres, saint Paul s’adresse toujours à l’unique Église d’une cité, au sein de laquelle n’existent plus de différences de classe, de genre ou de nation.
[7] Lire J.A. Dérens, “Balkans: l’Église orthodoxe serbe s’accroche à la ‘terre sacrée’ du Kosovo”, Religioscope, 28 avril 2004.
[8] Lire J.A. Dérens, “La communauté internationale est coupable d’avoir toléré la destruction de nos Eglises” – Entretien avec Mgr Artemije, in Religioscope, 17 janvier 2005.
[9] Lire “L’Église orthodoxe serbe se déchire au Kosovo”, Le Courrier des Balkans, 5 juin 2006.
[10] Lire “Kosovo: un statut d’extra-territorialité pour le monastère de Visoki Decani?”, Le Courrier des Balkans, 4 avril 2006.
[11] Située au Kosovo, la patriarchie échappe naturellement à la jurisprudence de l’évêque de Prizren et de Raska. Siège officiel de l’Église serbe, elle dépend directement du patriarche Pavle.
[12] Lire J.A.Dérens, “Bosnie: la Republika Srpska réclame son référendum”, Le Courrier des Balkans, 7juin 2006.
[13] Lire “Eglise orthodoxe serbe: “Je suis un dissident!” – Entretien avec Mirko Djordjevic”, in Religioscope, 13 octobre 2004.
[14] Lire “Serbie: les serviteurs de Dieu au-dessus de la loi”, Le Courrier des Balkans, 27 avril 2006.
[15] Lire “Serbie: l’étrange acquittement de l’évêque Pahomije”, Le Courrier des Balkans, 3 avril 2006.
[16] Lire J.A.Dérens, “Macédoine: harcèlement policier contre l’Église orthodoxe serbe”, in Religioscope, 1er novembre 2005, et Ivan Blazeski et Zelimir Bojovic , “Belgrade finance les religieux orthodoxes dissidents de Macédoine”, Le Courrier des Balkans, 5 avril 2006.
Jean-Arnault Dérens, qui collabore régulièrement à Religioscope, est le rédacteur en chef du Courrier des Balkans.
© 2006 Jean-Arnault Dérens
Suisse: une analyse du paysage des religions à partir des recensements
Présence de nouveaux acteurs religieux, croissance des personnes sans appartenance, mais aussi certaines permanences: ce sont quelques-unes des facettes de la religion en Suisse auxquelles s'est intéressé Claude Bovay, auteur d'une étude sur les résultats du recensement 2000.
Claude Bovay, Le Paysage religieux en Suisse, Neuchâtel, Office Fédéral de la Statistique, 2004, 130 p.
L’étude peut être téléchargée intégralement au format PDF (672 Kb) à partir du site de l’OFS.
Pour les personnes qui souhaitent néanmoins obtenir la version imprimée (30 francs suisse), les commandes doivent être adressées à l’éditeur:
Office fédéral de la statistique
Service des publications
Espace de l’Europe 10
2010 Neuchâtel
Tél. 032 713 60 60
Fax. 032 713 60 61
E-mail: Order@bfs.admin.ch
Vietnam: un exposé du directeur du Bureau des affaires religieuses retient l’attention
Suppléant l'absence de référence à la question religieuse au cours du Xe Congrès du Parti communiste vietnamien, les Affaires religieuses ont présenté en marge de celui-ci un exposé inhabituel sur ce sujet.
Cet article a été publiée dans le N° 440 (1er mai 2006) d’Eglises d’Asie, Agence d’Information des Missions Etrangères de Paris (128 rue du Bac, 75341 Paris Cedex 07).
Eglise catholique-apostolique: une œuvre documentaire en langue française
Parmi les mouvements chrétiens non conformistes apparus dans l'histoire contemporaine, l'Eglise catholique-apostolique est l'un des plus intéressants et originaux, mais aussi des plus méconnus, faute d'accès au matériel documentaire sur son histoire. Quelques volumes en langue française ont cependant été publiés de façon privée ces dernières années et permettent d'en savoir plus sur ce mouvement qui a presque disparu de la scène, mais dont le témoignage continue de retenir l'attention de petits cercles.
Les livres de Jean Pütze peuvent être commandés directement à l’auteur: Sinzerstrasse 4, 66706 Perl-Nennig, Allemagne.
Si l’intérêt pour l’Eglise catholique-apostolique est presque inexistant en français, il en va autrement en anglais et en allemand, ce qui est d’ailleurs assez logique en raison de l’impact qu’avait eu le message catholique-apostolique dans ces deux aires linguistiques. Parmi les livres parus ces dernières années sur l’Eglise catholique-apostolique, signalons en anglais l’étude de Columba Graham Flegg, “Gathered Under Apostles”: A Study of the Catholic Apostolic Church, Oxford, Clarendon Press, 1992, qui porte une attention particulière à l’ecclésiologie, à l’eschatologie et à la liturgie du mouvement. Sur l’histoire en Allemagne: Johannes Albrecht Schröter, Die Katholisch-apostolischen Gemeinden in Deutschland und der “Fall Geyer”, 2e éd. revue, Marburg, Tectum Verlag, 1998. Le même auteur a publié une édition bilingue (allemand-anglais) d’un recueil relié de photographies sur l’Eglise catholique-apostolique: Bilder zur Geschichte der Katholisch-apostolischen Gemeinden – Images of the History of the Catholic Apostolic Church, Iéna, Glaux Verlag Christine Jäger KG, 2001. Enfin, certains livres un peu plus anciens et épuisés, mais que l’on peut parfois trouver chez des bouquinistes conservent leur intérêt, par exemple le livre de Rowland A. Davenport, Albury Apostles: The Story of the Body Known as the Catholic Apostolic Church (Sometimes Called “The Irvingites”), 2e éd., Londres, Neillgo Publications, 1974.
Catholicisme romain: orientations stratégiques du pape Benoît XVI
A l'occasion du premier anniversaire de l'accession de Benoît XVI au souverain pontificat, célébré ce 19 avril, tous les médias du monde ou presque ont publié des rétrospectives ou analyses. Religioscope propose ici quelques brèves observations sur l'actuel pape face aux affaires intérieures du catholicisme, à l'engagement sur le terrain politique, aux relations avec les autres communautés religieuses et aux contacts diplomatiques avec la Chine.
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